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ras le bol !! 17 septembre 2006, par

bonjour.je lit vos articles depuis quelques temps et je suis un peu l’actualit�e toulonnaise grace a vous.j’habite depuis longtemps un quartier populaire et typique(le pont du las)et je suis desol� quand je voit depuis des decennies ce quartier se degradrer et ses commerces fermer.cela me peine d’autant plus que je voit la municipalit� actuelle,depenser notre argent au mourillon pour refaire les parkings et plantations ainsi que les trottoirs alors que les quartiers ouest sont oubli�s totalement,que les arbres morts ou arrach�s ne sont plus remplac�s !!je suis septique quand je lit des articles qui mettent en avant cette municipalit� ! ps:avez vous quelques influences sur la dde qui ne remplace pas les lampes des bretelles d’autoroute(malbousquet)depuis quatres ans !!et ce malgres mes coups de telephonne au responsable des (ampoules) qui m’as repondu qu’il fallait qu’il trouve un camion et des hommes !(cqfd)de qui ce moque ce monsieur ?du contribuable ?il est pourtant pay� par celui-ci je crois !merci de publier ma nouvelle.

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Appel � t�moin 14 mars 2006 (1 r�ponse)
Pour un documentaire toulonnais, nous recherchons des t�moignages et anecdotes autour du mur d’enceinte de l’arsenal ; s�parant monde civil et militaire.

Vous avez cherch� � savoir ce qu’il y a derri�re ? Vous avez colport� des rumeurs inf�mes ? Quelles r�actions vous inspire-t-il ? Veuillez nous contacter au 06 50 13 50 55. Ou par mail � [email protected]

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- appel � t�moins 16 mars 2006, par
  
  Il est vrai que ce mur d’enceinte avait quelque chose de myst�rieux. Je me souviens des ann�es soixante, quand les portes s’ouvraient deux fois par jour d�s que la sir�ne retentissait pour laisser s’�chapper des flots de pi�tons press�s (ceux-l� savaient...) et quelques privil�gi�s en voiture. Quant au simple quidam, et � condition qu’il e�t un parent ou une connaissance travaillant � l’arsenal, tout au plus pouvait-il franchir la porte de quelques m�tres pour acc�der aux t�l�phones int�rieurs et voler ainsi quelques regards furtifs sur les all�es d�sertes bord�es de platanes, sous la syrveillance de militaires en tenue.
  
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