::
CUVERWEB PRATIQUE :: Glossaire, �ditos, dossiers... :: ECONOMIE :: Ren� Sylvestre et Maurice Gaillard en direct du caf� Brognard. :: TOULON VAR AGGLOMÉRATION :: De la Cadi�re � Brignoles, en passant par la Loubi�re et P�pioles. :: QUALITÉ FRANCE :: La joie de vivre au pays des droits-de-l’hommistes. :: CUVERVILLE SANS FRONTIÈRE :: Les scientifiques sont formels : il y a de la vie apr�s le Cap Brun. :: JUSTICE ET INJUSTICES :: Comment r�primer � visage humain. :: CULTURE :: Pompon de marin et cigale en c�ramique. Pourquoi tant de haine ? :: MEDIA :: Les chihuahuas de garde aboient dans Cuverville. |
|
|
|
.:: TOULON VAR AGGLOMÉRATION ::.
Lagoubran 1899 : Boum ! Et apr�s ?
(13/10/2004)
S�natoriales 2004 dans le Var
(21/09/2004)
Jos� Bov� � Six-Fours
(09/08/2004)
Hubert le despote
(05/08/2004)
Toulon les eaux
(22/07/2004)
.:: LES BR�VES ::.
.:: RECHERCHER SUR LE SITE ::.
|
|
...sur lequel beaucoup d’utopistes risquent de s’empaler. Samedi 14 f�vrier, la conf�rence L’Instrument de la Grande Esp�rance (l’arm�e fran�aise de la Lib�ration rassemblait des hommes et des femmes venus des cinq continents) proposait, dans l’amphith��tre de la facult� de Droit de Toulon, une rencontre avec des historiens de haute vol�e : Paul Gaujac, Nancy Lawler et Belkacem Recham. Cette conf�rence �tait organis�e conjointement par l’Amicale du Groupe Marat, le Mus�e d’Art de Toulon et l’Universit� del Sud. Elle venait compl�ter l’exposition Nos Lib�rateurs, Toulon, ao�t 1944 qui depuis le 8 novembre a rencontr� un tel succ�s aupr�s du public, qu’elle a �t� prolong�e jusqu’au 22 f�vrier, et que Le Monde et Lib� se sont fendus d’un article chacun ; la classe ! Bref. Comme cela fut le cas d�j� pour l’inauguration de l’exposition, les �diles toulonnais ont fait montre de leur savoir-vivre [1]. En ce matin du 14 f�vrier, Saint-Valentin oblige, aucun conseiller municipal ne participa � l’ouverture de la conf�rence. Claude-Henri Bonnet, adjoint � la culture, devait certainement �tre en train de d�poussi�rer son th��tre � coup de plumeau issu de la derni�re tenue de sc�ne de Zizi Jeanmaire. Le Pr�sident de l’Universit� del Sud, par contre, �tait bel et bien pr�sent, un quart d’heure avant le d�but de la conf’, l’air vaguement int�ress� devant les livres d�pos�s devant lui par la librairie Ga�a et l’�quipe du Mus�e d’Art. Puis vint le moment de l’ouverture de la conf�rence. Peu de monde dans les trav�es : une bonne soixantaine de personnes selon les manifestants ; Bruno Ravaz avait lui-m�me avou� � un coll�gue juste avant de monter en sc�ne : « ce n’est pas le succ�s populaire escompt� ». Son speech de bienvenue fut surprenant : Ravaz aime l’histoire, il pense qu’elle est le ciment de la citoyennet�, qu’elle est indispensable au bon fonctionnement d’une soci�t�, et patati et patata. M. le Pr�sident s’�panche encore et avoue, surprise !, que cela fait plusieurs ann�es qu’il demande au Minist�re l’ouverture du cursus d’histoire au sein de son universit�. Mais ces demandes sont syst�matiquement repouss�es pour des raisons « technocratiques » qui voudraient qu’ « une licence d’histoire � Toulon n’accueillerait que 3 �tudiants » et donc serait largement d�ficitaire en effectif. Quelle id�e aussi d’�tre encart� UDF quand le gouvernement est UMP ! La larme � l’�il, Bruno Ravaz c�de le micro � Gr�goire Georges-Picot, organisateur de la rencontre. Et s’�clipse d�s le d�but des interventions. L’histoire oui, mais pas trop tout de m�me. Saint-Just
[1] Alors que l’inauguration se tenait en pr�sence des consuls anglais et s�nagalais, ainsi que d’autres personnalit�s d’envergure internationale, messieurs de la Mairie n’avaient pas jug� bon d’organiser autre chose qu’un « verre de l’amiti� » sur lequel s’�taient jet�s tels des morts de faim les photog�niques habituels de Var Matin. Puis, Hubert avait lu sa le�on d’histoire qu’un copain deuxi�me de la classe lui avait concoct�e.
|
||||||||||