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LETTRE D'INFORMATION |

Entretien avec Andr� de Ubeda (Toulon vraiment � gauche)

vendredi 22 février 2008
par Saint-Just
� la t�te de la liste "Toulon vraiment � gauche", le communiste Andr� de Ubeda entend porter le mouvement social et un socialisme du XXIe si�cle � l’�chelon local. Les partis repr�sent�s sur la liste ont fait taire leurs divergences pour �tablir un contrepoids face aux candidats de la pens�e unique.

L’entretien se d�roule au Grand Caf� de la Rade. Andr� de Ubeda est rejoint par sa colisti�re Ren�e de France. Volontaires mais r�alistes, ces camarades ne souhaitent pas capituler, ni � Toulon, ni ailleurs. Voyons cela.

En quoi « Toulon vraiment � gauche » se diff�rencie-t-elle des autres listes ?

« Toulon vraiment � gauche » se diff�rencie premi�rement par sa philosophie, deuxi�mement par ses propositions, troisi�mement par sa composition.

Sa philosophie, c’est celle d’un combat d’opposition contre la droite et la gauche qui d��oit. C’est une liste qui dit non � la constitution europ�enne, qui prolonge le mouvement social et les luttes contre les r�gressions sociales et la politique nationale qu’incarne Falco � Toulon.

Ses propositions, par son opposition franche � la droite et des propositions imaginatives sur le plan toulonnais comme par exemple le d�veloppement des transports alternatifs, la re-municipalisation du service des eaux. Nous voulons par exemple nous diriger vers la gratuit� des transports en commun avec le tramway.

Sa composition, parce qu’elle est compos�e de militants qui sont dans des partis mais parfois pas, des militants du monde politique, syndical, culturel, social, tous des gens engag�s. On a r�ussi � rassembler le Parti Communiste Fran�ais, Lutte Ouvri�re, le Parti des Travailleurs, le COPO (Comit� pour un parti ouvrier), d’anciens Verts, d’anciens MRC (Mouvement R�publicain et Citoyen). Nous sommes vraiment une liste de rassemblement et d’union, compar� � toutes les autres listes.

On retrouve des personnalit�s qui sont l� depuis quelques temps maintenant � Toulon, comme Danielle De March ou G�rard Estragon. Au-del� des ces personnes, comment se fait le renouvellement ?

Je tenais absolument � ce qu’il y ait une continuit�, une permanence, des symboles sur notre liste pour qu’il y ait du renouveau � partir de bonnes racines. Avec des personnes qui repr�sentent les luttes pass�es et pr�sentes : G�rard Estragon pour les Droits de l’homme, Danielle de March qui a �t� une lutteuse toute sa vie, d�put� honoraire � l’Assembl�e europ�enne, ex-conseill�re municipale.

Nous avons des jeunes, des gens qui ne se sont jamais engag�s en politique comme Thierry Bergugnat en troisi�me position, une personnalit� — dans le sens de l’engagement — qui va dans les �coles et s’occupe du secteur culturel � Toulon.

On a minor� volontairement la place du PCF. On trouve en deuxi�me position Ren�e de France de Lutte Ouvri�re, Thierry Bergugnat en troisi�me position, donc. Quatri�me : Odile Bozane, militante �cologiste d�missionnaire des Verts. Cinqui�me : Dominique Canut du Parti des Travailleurs. Sixi�me : Evelyne Boissonade, septi�me : G�rard Martin qui a d�missionn� du MRC pour �tre sur notre liste.

La Ligue Communiste R�volutionnaire qui souhaite fonder un grand parti anticapitaliste vous accuse de l’avoir contact�e en ayant d�j� les t�tes de liste.

C’est faux, scandaleusement faux. J’ai la preuve par �crit, malheureusement pour Fahima Laidoudi. C’est elle qui ne s’est pas rendue par deux fois � des invitations au mois d’octobre et au mois de novembre. Je le dis tranquillement : il n’y a qu’une personne � Toulon qui s’est oppos�e � cette liste d’union, c’est Fahima Laidoudi. Les militants d�partementaux de la LCR �taient pour l’union.

On retrouve sur la liste du Parti Socialiste men�e par M. Alfonsi des �lus communistes sans le sigle PCF.

Chacun sa conscience. Ce sont d’ex-�lus (jusqu’au dernier conseil municipal), ex-communistes puisqu’ils ont d�missionn� du PCF. Ils ne repr�sentent qu’eux-m�mes ; ils ont m�me refus� de nous rencontrer ; ils ont soutenu S�gol�ne Royal au premier tour des �lections pr�sidentielles ; ils �taient contre la pr�sence de candidats communistes aux �lections l�gislatives. Bon je me demande ce que sont ces communistes qui refusent m�me de parler � des communistes. Bien �videmment l’�tiquette communiste est bien utile au moment des municipales.

On verra ce que d�cideront les �lecteurs. Bien entendu, le Parti Socialiste a la faveur des m�dias et est pr�sent�e comme la liste alternative � Toulon. Enfin alternative... Disons d’alternance puisqu’ils ne s’opposent m�me pas � M. Falco. C’est ce que j’ai lu hier de la part d’Alfonsi. « Notre combat n’est pas contre Falco ». C’est textuellement ce qu’il a d�clar� dans Var Matin [1] : « C’est contre le bilan des maires pr�c�dents ».

Il y a des alliances avec le Modem un peu partout avec absolution du secr�taire d�partemental Robert Alfonsi. On peut supposer qu’au deuxi�me tour � Toulon, il y aura une tentative de fusion avec le Modem auquel cas nous n’en serions pas, bien entendu.

Mis � part les d�saccords � gauche, la r��lection d’Hubert Falco semble acquise. N’est-ce pas d�courageant ?

C’est d�courageant que Toulon, gangren�e par le client�lisme, soit une ville ancr�e � droite depuis des d�cennies. C’est vrai que c’est d�courageant parce que les gens vivent mal � Toulon. Toulon est une belle ville o� les gens souffrent : le ch�mage, le logement, la chert� de l’eau, le chaos de la circulation, tout.

Parlons de vos projets �conomiques et sociaux.

Nous sommes pour la cr�ation d’un Conseil �conomique et Social local o� on met � parts �gales les �lus, les repr�sentants syndicaux et les repr�sentants patronaux pour cr�er la dynamique, pour r�pondre aux besoins, pour trouver les financements. Ce serait le premier �chelon d’un projet de loi national sur la s�curit� de l’emploi et de la formation. Ce qui n’est pas du tout la « flex-s�curit� » de Sarkozy.

Nous sommes pour le soutien au d�veloppement de l’Arsenal et des grandes entreprises. Mais au niveau local, nous pensons que nous pouvons faire quelque chose de plus sur le plan �conomique. C’est par exemple la cr�ation d’infrastructures, l’entretien de la ville qui permettraient par exemple la relance du petit commerce et de l’artisanat tout en luttant contre l’implantation de grandes surfaces. La droite facilite ces implantations puisque le rapport Attali propose qu’il n’y ait m�me plus d’autorisations pr�alables pour installer les grandes surfaces. Or on sait que ce sont les grandes surfaces qui sont en grande partie la cause de la paup�risation du centre-ville et des petits commer�ants. On ne s’est pas engag� sur la municipalisation des services de nettoyage parce qu’il y a des contrats l�onins difficiles � d�noncer. Mais on s’est engag� sur la municipalisation du service de l’eau. Cela doit nous permettre de cr�er des emplois. Nous sommes pour les emplois stables et durables, et non pas pour les heures suppl�mentaires... La Chambre r�gionale des comptes a d’ailleurs condamn� la gestion de M. Falco l�-dessus.

La municipalisation des services publics, �a se ferait quand, �tant donn�s les baux d�j� en place ?

N�gociations avec Veolia et nous d�noncerons le contrat. Nous nous engageons l�-dessus. Il y a d�j� beaucoup de villes en France qui l’ont fait et en moyenne, �a a baiss� le prix de l’eau de 27%. Eau de meilleure qualit� et moins ch�re, c’est ce que nous voulons pour les Toulonnais. Nous d�noncerons ce contrat, nous m�nerons une bataille juridique [2].

Toujours dans le domaine socio-�conomique, venons-en au logement social. Le rapport de la Fondation Abb� Pierre sort des chiffres peu glorieux pour Toulon.

Le logement social est notre cheval de bataille principal puisque cela fait d�j� des ann�es que l’on d�nonce la politique, non pas d’absence de cr�ation de logement social, mais m�me de disparition de logements sociaux � Toulon. Il y a moins de logements sociaux � Toulon aujourd’hui qu’il y a deux ans. Nous avons fait une �tude approfondie qui prouve qu’il y a des terrains qui appartiennent d�j� � la municipalit�, ou une deuxi�me s�rie de terrains qui sont en pr�emption et une troisi�me s�rie de terrains qui pourraient �tre achet�s par la Ville pour cr�er des logements sociaux. L’�tude que nous avons faite en prenant en compte la superficie et le COS (coefficient d’occupation des sols) prouve que rien que dans les terrains d�j� achet�s par la municipalit�, on peut cr�er un millier de logements sociaux. Les terrains existent, c’est la volont� politique qui n’y est pas. Il est scandaleux que la municipalit� pr�f�re payer des amendes parce qu’elle ne remplit pas le cahier des charges. Il ne s’agit pas de cr�er n’importe quoi n’importe o�. On garde l’id�e de petits ensembles et de logements de Haute Qualit� Environnementale (HQE). En orientant nos propositions en faveur des plus d�munis, on va faire en sorte que tout le monde en profite parce qu’en cr�ant du logement social, on va faire baisser la pression fonci�re et donc baisser les loyers dans le priv�.

D’un point de vue culturel, la ville semble sans trop d’ambitions...

La culture n’est pas qu’une question d’image, c’est une question de v�cu quotidien. Le renouveau de Toulon, la sortie du marasme se fera par un projet culturel ou ne se fera pas. Premi�rement, on ne part pas de rien contrairement � ce que l’on croit. Il y a de grands professionnels � Toulon et de bonnes programmations. Deuxi�mement, oui, on peut faire d’autres choses. D�j�, il y a la question de la d�mocratisation. Par exemple une v�ritable carte jeune qui ne se cantonne pas au cin�ma comme c’est le cas du ch�que Conseil G�n�ral qui finance Path�. Donc une carte jeune et une baisse g�n�ralis�e des tarifs, c’est-�-dire subventionn�e par la municipalit�. Nous sommes de la m�me fa�on pour une collaboration plus �troite entre l’�ducation Nationale et la mairie en ce qui concerne tr�s pr�cis�ment les partenariats culturels, c’est-�-dire des structures culturelles qui existent d�j�, pour prendre en charge les �coliers, les coll�giens, les lyc�ens et r�aliser des activit�s culturelles dans les �tablissements scolaires et les structures m�mes. Si l’on veut rapprocher, il faut d�centraliser ces structures. Nous sommes pour la cr�ation de nombreuses salles dans les quartiers. Ce qui irrigue la culture, c’est l’activit� de toutes les petites compagnies de th��tre, de petits groupes qui n’ont pas de salles, de tous les artistes. Nous sommes pour la cr�ation d’ateliers collectifs d’�criture, de peinture et de salles de r�p�tition et des salles de r�union de quartiers. Enfin nous sommes pour la r�habilitation du mus�e et de la biblioth�que, la cr�ation d’une maison des jeunes et de la culture � la place de l’ancienne bourse du travail, la cr�ation d’un centre de s�jour pour les jeunes (une sorte d’auberge de jeunesse avec plus d’ambitions notamment culturelles) qui manque cruellement � Toulon — qui est un port !

Et le sport dans tout �a ? Le RCT fait l’objet d’une union sacr�e tandis que Hubert Falco semble mettre le paquet sur les installations sportives.

La relation entre le sport de haut niveau et le sport pour tous, c’est un effet d’entra�nement, de motivation, d’implication des jeunes, des petits clubs. Il y a beaucoup � faire dans ce domaine. Je trouve par exemple dommageable la cr�ation de multiples clubs. En centralisant un peu plus les clubs, on pourrait faire un meilleur travail �ducatif et sportif pour sortir une �lite plus facilement, de fa�on plus compl�te. Dans mon esprit, c’est �a le RCT. La culture, c’est ce qui met en relation les gens en dehors de l’obligation d’�tre au travail ensemble. Le sport en fait partie, il met bien en relation. C’est vital pour Toulon, notamment le soutien aux petits clubs avec la nuance que je mettais toute � l’heure. Parce que c’est �a qui irrigue les grands clubs. De ce point de vue l�, trop souvent, avec les revues municipales et parfois une presse complaisante, on voit Falco partout et on pourrait penser que son bilan en mati�re sportive est positif. Or une �tude du magazine L’Equipe situe Toulon, selon cinq crit�res (sport pour tous, sport d’�lite, budget, �quipement, volont�), 36e sur 37 villes de plus de 100.000 habitants. Encore une fois, apr�s le logement social, apr�s le prix de l’eau, apr�s le tramway, Toulon est dernier du classement.

L’�cologie n’est g�n�ralement pas le point fort ni du PC, ni de LO, ni du PT. A Toulon se posent pourtant beaucoup de probl�mes : le nucl�aire, le tramway, les espaces verts...

Un. Nous sommes des �cologistes et des Verts nous ont rejoints sur la liste ou font partie du comit� de soutien. Nous sommes des �cologistes cons�quents dans la mesure o� nous nous attaquons aux causes. Et les causes, c’est la rentabilit� � tout prix et � court terme.

Deux. Concr�tement, nous sommes pour le renouvellement des contrats de baie, pour une priorit� absolue au tramway sur rail, contre la LGV trac� Sud, pour la cr�ation d’un centre de veille pour les eaux de baignade, et aussi pour un plan contre les risques nucl�aires, pour le maintien du centre d�partemental de m�t�o dont l’existence est menac�e et qui devrait dispara�tre en 2009. Ce centre d�partemental de m�t�o pourrait jouer un r�le de veille. Toulon, � cause du n’importe quoi automobile, a la qualit� de l’air la plus m�diocre malgr� le vent. Nous sommes aussi tr�s attentifs � la question des intrants agricoles du fait des bassins versants � Toulon. Il faudra veiller � ce qu’il y ait une bonne gestion et donc mettre fin � l’utilisation des pesticides. En ce qui concerne le Faron, nous sommes pour une DUP (D�claration d’Utilit� Publique) pour que la municipalit� acqui�re aux prix actuels — c’est-�-dire bas — les terrains class�s, et qu’ils ne soient pas vendus comme �’a �t� le cas derni�rement � cause d’une pr�tendue erreur de notaire [3]. Nous avons des propositions sur la cr�ation d’une v�ritable d�chetterie avec un v�ritable recyclage, sous r�gie municipale.

Hubert Falco repr�sente � lui seul la caricature de l’empilement institutionnel d�nonc� par le rapport Attali : Mairie, Agglom�ration, D�partement, S�nat. Comment changer ce rapport de force, surtout quand l’agglom�ration reste une structure non �lue ?

Nous sommes pour l’�lection � la proportionnelle des �lus de l’agglom�ration. Actuellement, c’est le maire qui d�signe les d�l�gu�s � TPM. C’est d�j� un premier point. Deuxi�mement, changer le rapport de force, �a voudrait aussi dire que des municipalit�s passent � gauche dans l’agglom�ration. Je pense que l’agglom�ration, aujourd’hui, est non pas un outil au service des gens mais un bidule qui �loigne des d�cisions. Il y a beaucoup de d�cisions dont les Toulonnais ne sont pas au courant, parce qu’on dit « ah mais c’est l’agglo, c’est pas nous », ou l’inverse. Il faut donc rapprocher sur le plan de l’information, de la consultation. On a des propositions sur la d�mocratie participative. Il faut rapprocher l’agglom�ration des gens pour changer le rapport de force. Par exemple, nous proposons que les conseils de quartiers soient �lus par toute la population inscrite sur les listes �lectorales. Nous proposons qu’ils disposent d’un budget et nous tenons � ce que les d�cisions qui sont prises dans les conseils de quartiers soient prises en accord avec la politique globale de la municipalit�. Il ne s’agit pas de tout accepter. La fausse d�mocratie participative � la S�gol�ne Royal, on n’en veut pas. Diriger une ville, ce n’est pas l’addition des int�r�ts particuliers, c’est la prise en compte de l’int�r�t g�n�ral. Donc des conseils de quartiers avec un budget, qui soient �lus, qui aient les moyens de consulter la population.

Concernant le national : Hubert Falco a demand� que Nicolas Sarkozy ne le soutienne pas publiquement. Qu’en pensez-vous ?

�a ne m’�tonne pas que dans la situation actuelle catastrophique, et qui va s’aggraver � cause des lois vot�es par Vitel, L�vy, et lui, Hubert Falco cherche � cacher sa responsabilit� dans les domaines des franchises m�dicales, des petites retraites, de la non augmentation des salaires des fonctionnaires, de la disparition de 300 lits en quelques ann�es au centre hospitalier Toulon La Seyne. Hubert Falco cherche � camoufler le bilan national dont il est responsable et aussi son bilan toulonnais qui n’est pas bon. �videmment il est "moins pire" que Le Chevallier, mais ce n’est pas parce qu’il est moins pire qu’il est bon. Il n’est pas bon. Sarko, Falco, m�me tombeau. J’ai interpell� l’autre jour Vitel sur le march� : « Mais il est o� Sarko l� ? Aux l�gislatives, tu �tais en photo avec lui. Il a disparu ? Tu l’as gomm� ? T’as mis du blanco ? » On trompe les gens.

Quel sera votre r�le dans l’opposition ?

D�j� de s’opposer...

...Oui mais comment ?

Mon adversaire, c’est Falco. Ce n’est pas Arreckx, ni Trucy, ni Le Chevallier, ils ne sont plus l�. Mon adversaire politique, ce sera Falco et son bilan. On ne va pas s’attaquer aux trente ans de retard des autres. On a des financements europ�ens, nationaux, r�gionaux. C’est extraordinaire le nombre d’occasions g�ch�es par Toulon de ce point de vue. On va s’attaquer aux probl�mes d’aujourd’hui, aux retards qui s’accumulent. On va faire des propositions avec des points forts — logement social et culture, entre autres — en formant un espace de cr�ation pour s’opposer � la politique locale et nationale de Falco.

Propos recueillis le 19 f�vrier 2008
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[1] �dition du 18 f�vrier 2008.

[2] voir aussi le site "Les eaux glac�es du calcul �go�ste".

[3] Une erreur commise dans une �tude notariale toulonnaise a �t� d�voil�e par trois associations de d�fense de l’environnement (ASVANE, UDVN 83 et association de D�fense et protection du Faron). Un terrain de huit hectares situ� � l’int�rieur du site class� au Plan d’occupation des sols en zone IND et dans le p�rim�tre de Natura 2000 et prot�g� par la loi Littoral a �t� vendu � une soci�t� civile immobili�re.

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