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20 décembre 2002

 

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Fran�ois Hollande, qui s’imagine un destin national, a visit� en novembre une ville � la mesure de ses ambitions : le Luc en Provence. Le monsieur Royal du parti socialiste d�sire pr�ter une oreille attentive aux militants, en regrettant ne pas l’avoir fait plus t�t. On se demande bien � qui est destin�e l’oreille. Car au sein du PS, avant le congr�s de mai 2003, la consigne est surtout d’�viter tout d�bat : on risquerait de se rallier aux points de vue contestataires de l’aile gauche du parti. Les caciques n’aiment ni le NPS [1], ni les mouvements n�s sur les cendres du 21 avril. Et puis, dans le cadre d’un d�bat, il faudrait que Hollande �tende sa dialectique plus loin que lieux communs dont il est coutumier. Il faudrait qu’il donne un point de vue original. Or, le point de vue de Hollande est toujours celui de la majorit� susceptible de l’�lire.

Au sein de la f�d�ration varoise, la consigne est pass�e. Depuis l’�t�, Casanova, Maranzana et Alfonsi boudent les r�unions de section dans un bel �lan unitaire. Ils attendent sans doute que la base la plus motiv�e se lasse. Nos t�nors d’op�rette assument leurs mandats, pour ce qu’il en reste. Ils attendent leur heure, certains depuis plus de trente ans. Ils r�gnent sur un champ de ruines qu’ils trouvent certainement tr�s joli, au point de souhaiter le conserver en l’�tat. GS


[1] Nouveau Parti Socialiste