::
TOULON VAR AGGLOMÉRATION :: De la Cadi�re � Brignoles, en passant par la Loubi�re et P�pioles. :: CUVERWEB PRATIQUE :: Glossaire, �ditos, dossiers... :: MEDIA :: Les chihuahuas de garde aboient dans Cuverville. :: CUVERVILLE SANS FRONTIÈRE :: Les scientifiques sont formels : il y a de la vie apr�s le Cap Brun. :: CULTURE :: Pompon de marin et cigale en c�ramique. Pourquoi tant de haine ? :: JUSTICE ET INJUSTICES :: Comment r�primer � visage humain. :: QUALITÉ FRANCE :: La joie de vivre au pays des droits-de-l’hommistes. :: ECONOMIE :: Ren� Sylvestre et Maurice Gaillard en direct du caf� Brognard. |
|
|
.:: TOULON VAR AGGLOMÉRATION ::.
Hubert Falco : « i have a dicrim ! »
(12/12/2004)
Les imposteurs du Rocher
(24/11/2004)
Post ministrum animal triste
(30/10/2004)
TPM et le d�veloppement urbain
(27/10/2004)
Lagoubran 1899 : Boum ! Et apr�s ?
(13/10/2004)
S�natoriales 2004 dans le Var
(21/09/2004)
.:: LES BR�VES ::.
|
|
V�ritable auberge espagnole, la section seynoise du parti socialiste accueille tous les gens de bien, anciens communistes ou lib�raux pur jus, car le socialisme est amour. urtout si, d�sirant adh�rer, vous d�clarez soutenir les propositions de Fran�ois Hollande. Sinon, ce sera un peu plus difficile. Un an apr�s le "tremblement de terre du 21 avril", le temps ne serait plus � l’�parpillement. Et quand les postulants au Conseil f�d�ral du PS [1] s’affrontent, ce n’est certainement pas sur des bases id�ologiques. Pr�sentation des protagonistes. Jean Luc Bruno, �lu d’opposition au conseil municipal, �ducateur et chanteur � ses heures, tient la section avec la b�n�diction du t�nor Marc Vuillemot. Ce dernier permit � Maurice Paul, maire communiste dont il �tait le premier adjoint, de se maintenir en respiration politique artificielle apr�s l’implosion, en 1997, du PC local [2]. Depuis quelques ann�es, le tandem respecte la fameuse strat�gie varoise : "le PS laisse la Seyne au PC en �change de la r�ciproque � Toulon". De temps � autre, nos amis doivent avaler quelques couleuvres. Ainsi, on se souvient de la col�re de Marc quand il fut question d’investir G�rard Paquet [3] aux derni�res l�gislatives. Notons que si Bruno a rejoint le manche de la motion A (Hollande) [4], Vuillemot penche plut�t du c�t� gauchisant de la motion E (Le nouveau Monde d’Henri Emmanuelli) aux c�t�s de Sylvie G�rin, c�l�bre aquacultrice des quartiers sud. Patrick Martinenq est lui aussi �lu d’opposition au conseil municipal, mais sur une liste sp�cifique ("PRESS"). Candidat sans chapelle, de tous les scrutins depuis une d�cennie, il recueillait r�guli�rement plus de 10% des suffrages exprim�s, d�passant accessoirement les socialistes. Unique id�e et concept : "Marepolis", projet de reconstruction �conomique de la ville par l’am�nagement du terrain vague des anciens chantiers, transform� pour l’heure en piste de 4x4. Par ailleurs, Patrick dispose d’un solide r�seau militant. Apr�s 2001, il a pu b�n�ficier de quelques appuis ext�rieurs pour entrer au PS. A grands renforts d’adh�sions (une quarantaine depuis son arriv�e), ce social d�mocrate [5] tente une OPA sur la section au grand dam du canal historique. Martinenq, comme Bruno, a sign� la motion Hollande. Le vote pr�paratoire au congr�s de Dijon devant d�partager les diff�rentes motions donne les r�sultats suivants : 60 voix pour Hollande, 39 pour Emmanuelli. Certains regrettent l’entrisme assur� par Martinenq, forc�ment favorable au premier secr�taire lib�ral du PS. L’avenir se dessine. Les derni�res rumeurs envisagent le duel Martinenq / G�rin pour le poste de secr�taire de section, Bruno ayant para�t-il d�cid� de jeter l’�ponge. Et Montebourg, dans tout �a ? La motion C de l’animateur du Nouveau parti socialiste n’a recueilli � la Seyne que deux suffrages. Philippe Arcamone, transfuge du PC � qui l’on promettait une brillante carri�re politique avant qu’il ne quitte la maison m�re, a ratifi� cette motion . Il est donc peut-�tre l’un des deux votants. Peut-�tre pas. Car curieusement, on retrouve son nom sur la liste des candidats au bureau f�d�ral derri�re, cette fois-ci, la motion Hollande. Si malgr� son acharnement il ne trouvait de place nulle part, rassurons-le, il para�t que l’UMP recrute. [1] Administre les militants du d�partement et surtout, d�cide des options �lectorales � venir (choix des listes et des candidats). [2] En 2001, l’UMP Arthur Paecht d�branchera le malade. [3] Ex-administrateur de Ch�teauvallon, Centre National de Cr�ation et de Diffusion Culturelles. On lui reprochait son �litisme en mati�re de programmation, et quelques erreurs de gestion. Il fut �ject� en 1997 sous la pression conjugu�e de la municipalit� toulonnaise FN et du pr�fet Jean-Charles Marchiani. Paquet se trouva ainsi promu luxueux martyr de la cause culturelle. Il �tait parfaitement pr�visible que la gauche le sollicite, dans le r�le du faire-valoir issu de la "soci�t� civile". [4] Voir "Vote au PS toulonnais". [5] Un social d�mocrate tr�s mod�r�. Tellement mod�r� qu’il n’a pas h�sit� � acoquiner sa liste PRESS au RPF pasqua�en pour le second tour des derni�res municipales.
|
|||||