Tout se passe donc comme si le cocktail de radionucl�ides qui seraient rejet�s en m�me temps que les iodes (c�sium, ruth�nium, argent, strontium, plutonium et autres transuraniens) une fois inhal�s et ing�r�s n’auraient aucun effet sur la sant�. Il est vrai que contrairement aux iodes radioactifs qui ont pour cible la thyro�de sur laquelle ils se fixent, ces radio�l�ments ne donneraient pas d’effets sp�cifiques identifiables sur des organes particuliers. Il serait donc difficile pour les personnes contamin�es de les discerner parmi les maladies normales et les experts pourraient facilement camoufler leurs effets.