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EN REPONSE A L'ARTICLE :
Proc�s de la DCN : magouilles, mode d’emploi
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> Proc�s de la DCN : magouilles, mode d’emploi

OK pour que la justice s’int�resse � ce "pan" et soit en charge d’appr�cier le pr�judice moral. Mais quel est-il ? Qui veut se porter partie civile pour compenser les cons�quences morales de ces ann�es de proc�s pendant lesquelles des dizaines de personnes ont t�moign� de leur bonne foi devant une inquisition polici�re cons�cutive aux attitudes courageuses des deux gendarmes sanctionn�s (M. Caillet et Jodet). Pour m’�tre engag� depuis plus trois ans dans ce parcours sem� d’emb�ches, je n’en retire que d�ceptions et je constate les mutuelles protections entre corps. Personnel � statut ouvrier (c’est une appellation administrative) je me heurte aux filtres des Officiers d’administration et pseudo conseillers juridiques, responsables RH ou Inspecteurs des Ateliers et Services (reliquat de l’esprit de 40 - bonjour Toulon 40 Cuverville !) Mis en accusation par des t�moins m’ayant pr�c�d�, jamais mis en examen mais entendu comme simple t�moin pendant toute une journ�e par la "Cellule" d’enqu�teurs cow-boy, pas cit� au proc�s, j’ai �t� t�moin - et je suis victime - d’une machination qui a exploit� notamment :
 la d�nonciation calomnieuse de la part de deux pr�c�dents t�moins,
 les relations ant�rieures et tendues au niveau professionnel que j’avais pu avoir avec ces personnes plus particuli�rement,
 le harc�lement et la d�valorisation apr�s avoir �t� mis en confiance par les gendarmes enqu�teurs,
 la privation de tout besoin physiologique jusqu’� ma "lib�ration" en fin de journ�e,
 la menace de mise en examen, jamais mise en œuvre (c’est qui les flics ! Ils me donnaient le choix ou faisait comme si)
 la fum�e volontairement balanc�e sur la gueule, apr�s avoir tourn� l’interrogatoire � la d�rision en osant demander « Comment s’applique la loi Evin dans les bureaux de la gendarmerie Maritime ? » Rires ! (r�troactivement)
 le fait que mes interlocuteurs n’avaient pas les pr�-requis [l� aussi j’ai os� le leur dire - certes c’�tait trop mais qu’est-ce que �a m’a fait du bien !] n�cessaires pour traiter les dossiers qui leur �taient confi�s ; c’est l’impression qu’ils donnaient plut�t qu’une tactique,
 la petite tape sur l’�paule en sortant pour m’inviter � revenir avec des notes, des t�moignages, des listes ... des "actes citoyens" comme disent encore certains pour parler de d�lation, (l’adjoint � la police municipale le rappelle � la r�union de chacun des 53 CIL de la Bonne Ville de Toulon, encore le 20 janvier 2005 au soir � Barb�s - clin d’œil),
 le recours � des termes p�joratifs pour r�sumer mes attitudes ou les fonctions exerc�es : "vous n’�tiez qu’une simple bo�te aux lettres",
 plus grave : la retranscription s�lective de certaines de mes d�clarations, dont celles faisant �tat d’une soci�t� cit�e dans cet article ayant son si�ge Place d’Armes, et g�r�e par G�raldine S. form�e � l’�cole d’int�grit� de Pierre S. qui lui �tait aussi mon « RH » (rien n’est port� au PV),
 ne pas parvenir � faire comprendre que ce fameux Pierre S. �tait l’auteur de conventions internes semblables � des march�s publics mais dont l’arbitre en cas de « conflit » demeurait DGA [comprendre : �a ne sort pas de la maison]. A partir de ces / ses conventions de sous-traitance interne il parvenait � mettre un interm�diaire avec les soci�t�s ext�rieures sollicit�es par la seule DCN Toulon alors que lui comme vous le dite �tait � la DCN Ing. Ainsi, ce n’�tait pas lui qui commandait mais lui qui mettait en place l’entonnoir incontournable pour aboutir � des soci�t�s pour lesquelles nous pressentions que la justice allait indiquer qu’il y avait des int�r�ts. Il n’en a rien �t�. Comme quoi c’est plein de mauvaises langues dans cet arsenal. D�s que les gens ne savent pas ils critiquent. Et ce Pierre S. il n’a pas eu vraiment de sanction suite aux proc�s malgr� la pr�ventive … et par contre il a trouv� � qui parler lorsqu’il est revenu � son poste de travail, il s’arr�tait longuement tous les matins � l’aubette, pour causer avec la Mar�chauss�e ! Ca cr�e des liens les interrogatoires ! Mais putain qu’est-ce que c’�tait insultant d’�tre t�moin de ces collaborations ouvertes et insolentes quand on rentrait gagner sa cro�te. En plus il fallait bien qu’il se remette de ses �motions et qu’il revienne au travail comme « charg� de mission » [comprenez, vous qui �tes au ch�mage, en fin de droit : placard dor�, plein salaire assur� et pas emmerd�.]
 autre saloperie qui peut se retourner contre le t�moin : le recours au traitement de texte pour le PV et l’impact sur la hi�rarchisation des d�clarations. Pour mon cas, apr�s sept heures d’audition, je me suis entendu dire en fin d’audition qu’apr�s tout c’�tait « peut-�tre un homonyme qui aurait d� �tre � ma place ». J’ai demand� � le faire porter au PV ; je l’ai retrouv� mais en t�te du texte ... Et peut-�tre que si je parvenais � obtenir un exemplaire de cette d�position on me ressortirait un tirage d’un nouveau fichier plut�t qu’un original sign� mais peut-�tre pas paraph� en pied de page par ignorance. C’est qui les voyous ? Ces souvenirs sont trop lointains mais tr�s pr�sents encore et un peu en vrac dans mon r�cit exutoire. Mais combien sommes nous � n’avoir pas pu ext�rioris� ces souffrances et les somatiser quotidiennement ? Oui, combien ? Et, cerise sur le g�teau, avoir pr�alablement �t� victime d’une enqu�te interne, un an auparavant, afin de pr�parer le terrain et les orientations de la d�fense de certains mis en examen futurs inculpables potentiel si quelqu’un veut bien se mouiller ! Confiscation de cl�s d’archives, retrait sauvage et d�tournement d’autres archives, exploitation de listing dont l’origine laisse penser que l’obtention de ce document est li�e � un tirage confidentiel que seules quelques personnes autoris�es pouvaient se permettre. Bref, comprenez que l’auditeur interne avait obtenu des d�rogations pour avoir des documents normalement aux mains de la gendarmerie � cette �poque depuis longtemps … La pieuvre a son r�seau interne d’inquisition.

Monsieur l’atomicien - pseudo de l’auteur auquel je r�ponds - n’existe-il pas de formations syndicales capables de catalyser ce m�contentement r�els de dizaine de pseudo pr�venus qui n’ont fait que subir le questionnement d’enqu�teurs trop z�l�s qui ont privil�gi� les "petites gens" pour laisser mieux filer les gros poissons. Plus scandaleux, l’abandon de deux des trois chefs d’inculpation dans ce proc�s, apr�s l’instruction, lors de la transmission au Parquet. Avoir subi tous ces outrages pour alimenter des dossiers vides (ou vid�s pour cas de force majeure ...) C’est scandaleux ; vu du c�t� des innocents et incultes des al�as juridico-politico-affairistes. DCN veut jouer dans la cour internationale avec ces / ses casseroles au cul : indigne d’une soci�t� issue de trois si�cles ininterrompus de tradition �tatique. Quel client osera acheter lorsqu’en faisant une simple requ�te sur ce fournisseur il tombe sur "proc�s - escroquerie en bandes organis�es - corruption - ...". Bonjour l’image de marque.

Rebellons-nous sereinement monsieur l’atomicien. Osons demander � notre administration ou ce qu’il en reste comment elle attribue la protection juridique due aux salari�s pour soutenir les recours en justice qui d�couleraient d’�v�nements pr�judiciables subis dans le cadre professionnel ... L� aussi c’est la langue de bois. Pour obtenir le soutien financier pour recourir aux services d’un avocat, afin d’acc�der � votre dossier de simple t�moin, pour en extraire les diffamations non publiques entendues notamment, vous vous voyez oppos� de prouver la faute et justifier le pr�judice. Oui, mais voila, pour "prouver la faute" il faut acc�der au dossier. Stop. Le d�bat est ouvert. D�fendons-nous solidairement. DCN, l’�tat et les minist�res de la D�fense et de la Justice doivent proposer au moins un m�diateur pour exprimer qui des excuses, qui des volont�s de poursuivre en justice, qui des impuissances. Quant � la demande de mettre un place une th�rapie comportementale de groupe elle ne devrait pas tarder � �merger. Des �tats d�pressifs peuvent conduire � des actes irr�m�diables lorsque l’impuissance perdure. C’est trop facile de classer nos �tats mentaux dans le fourre-tout de sinistrose (merci tonton, pardon Tonton, d’avoir repris ce terme apr�s 81 !...) Ca va mieux ! A suivre.

Un t�moin. /forum.php ?id_article=129&id_forum=553&retour=proces_de_la_dcn_magouilles_mode_d_emploi_article129.html

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