F�licitations pour cet article et aux deux gendarmes. Ils devraient �tre r�compens� pour avoir su montrer le manque de moralit� et d’honn�tet� de tant d’agents de l’Etat responsables et investis du bien commun.
Cependant dans ces affaires il manque un pan entier, grave : les hommes et femmes honn�tes, de tous niveaux sociaux, qui ont �t� �cras�s par cette hi�rarchie magouilleuse.
En effet ces individus corrompus, qui se r�fugient derri�re la n�cessit� de service, avaient les commandes de centres du Minist�re de la D�fense.
Il faut alors se poser la question suivante : comment de tels individus pouvaient ils effectuer leurs affaires sans la complicit� de comparses a de nombreux postes de responsables et d’interm�diaires sans �veiller les soup�ons des gens honn�tes ?
Ils ne le pouvaient donc qu’en �cartant les gens honn�tes des postes de responsables, en les mettant de cot�, sinon leurs combines auraient �t� emp�ch�es.
Bien s�r ces magouilleurs notaient les personnels et donc avaient toute latitude de favoriser leurs comparses, au d�triment des honn�tes gens qui �taient ainsi doublement p�nalis�s pour leur honn�tet�.
Ce pan humain, des affaires, devrait �tre ouvert car qu’est-il de comparable avec les souffrances humaines ?
Quelle est la part des services des "Ressources Humaines" dans cela ? Qui r�parera ces torts ? Je pense aussi aux personnes en "assitance technique", victimes de ces proc�d�s, trait�es commes des objets, vir�es du jour au lendemain, avec un avenir dans une impasse et une vie parfois d�truite.
L’honn�tet� a �t� �rig�e en mal-honn�tet�, la morale en amoralit� par ces responsables du Minist�re de la D�fense.
Qui r�parera ces souffrances, "chiffrera" le pr�judice morale.
La justice s’int�ressera t’elle � ce "pan" ?