On a GAGNE
Je parle de l’OM qui va ainsi disputer la Ligue des Champions l’ann�e prochaine. Pour le reste, j’ai un go�t amer dans la bouche quand je vois la liste des investitures. Apparemment il a fallut racler les fonds de tiroir, relancer de vieux chevaux de retour pour �viter que des pr�-adh�rents du MoDeM ne se pr�sentent. Dans la deuxi�me circonscription du Var, G�rard Maestracci, Pr�sident du comit� de soutien local de Fran�ois Bayrou pour la pr�sidentielle et encart� UDF, avait sollicit� depuis longtemps, par �crit, d’�tre investi par le Mouvement D�mocrate auquel il a pr�-adh�r� parmi les premiers. Voyant le temps passer et ne recevant aucune r�ponse il a mis cette situation sur le compte de l’incurie bien connue des responsables locaux et a enregistr� sa candidature aupr�s de la pr�fecture le 16 mai. 2 jour plus tard, le 18 mai, il apprend, par hasard, qu’une autre candidature UDF- Mouvement D�mocrate avait �t� d�pos�e avec l’investiture officielle. Une candidate dont personne ne sait d’o� elle sort, que nous n’avons jamais vu mais qui a comme avantage de ne pr�senter aucun risque pour le d�put� UMP sortant contrairement � G�rard Maestracci. L’explication donn�e par le D�l�gu� d�partemental au suppl�ant de G�rard Maestracci est tr�s simple : « On ne pouvait pas lui donner l’investiture car il n’y a pas suffisamment longtemps qu’il a quitt� l’opposition » En dehors du fait que G�rard Maestracci, qui soutient avec conviction les id�es de Fran�ois Bayrou, a quitt� le Parti Socialiste en 1995 (12 ans) car il n’a pas support� que l’attitude de celui-ci ait donn� la municipalit� de Toulon au FN, je m’interroge sur le sens du mot « opposition » dans la bouche d’un responsable de l’UDF-Mouvement D�mocrate. Probablement qu’il s’imagine d�j� dans la majorit� pr�sidentielle aux c�t�s de l’UMP.