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Maison fondée à Toulon en 1995

LETTRE D'INFORMATION |
EN REPONSE A LA BREVE :
Faut-il raser la barre de l’Avenue de la R�publique ?
EN REPONSE AU MESSAGE :
Dormez tranquilles, vos �diles s’occupent de tout

Apr�s les d�gats occasionn�s par les derniers bombardements, il �tait urgent de reconstruire sans se pr�occuper de consid�rations d’ordre visuel pour les passants ou les automobilistes encore rares au lendemain du conflit

Il �tait aussi possible de construire de mani�re intelligente, sans reproduire les m�me erreurs. Apr�s guerre � Toulon, n’y avait-il pas d’autres endroits ou construire des logements ? Oui, la Rode par exemple qui fut d�figur�e par les tours que nous connaissons 30 ans plus tard et bien d’autres lieux. Y avait-il urgence � reconstruire les quelques logements de la barre avenue de la r�publique avec vue sur la mer ? N’est-ce pas l� une pr�occupation d’odre visuel au seul b�n�fice des occupants ?
Remarquez, ils auraient pu avoir la bonne id�e de b�tonner le Mont Faron qui reste en grande partie la possession de notables toulonnais qui n’ont pas eu le temps de revendre leurs terrains avant que cette maudite loi littorale ne pr�serve certains secteurs encore �pargn�s. Imaginez la perte de ressource avec la flamb�e de l’immobilier !

Quant � votre argument sur les commerces... Le commerce ayant horreur du vide, ils se seraient d�velopps dans le secteur devenu encore plus attrayant gr�ce � l’absence de ces tours : le quai aurait alors fait plus de 3 m�tres 50 de large...

Et gnagnagna vous ne faites que critiquer, vous n’�tes m�me pas objectif. Ca va on conna�t la rengaine.
Quand on ne se satisfait pas des conneries r�alis�es par les autres on ne risque pas d’aller chercher des arguments tordus pour les soutenir � posteriori...
Libre � vous d’en penser ce que vous voulez.

« L’�tat financier du pays et encore plus de la ville n’auraient pas alors permis les r�alisations auxquelle nous sommes habitu�s de nos jours. »

Il est vrai qu’aujourd’hui la puissance financi�re de l’�tat permer de construire des chefs-d’œuvres tel le futur stade Jaur�guyberry, implant� dans le p�rim�tre de s�curit� nucl�aire de l’arsenal. L� pour le coup Cuverville ne critique pas 50 ans apr�s. Nul doute qu’avec un peu d’imagination on peut certainement trouver des arguments r�alistes qui permettent de justifier la chose.

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