Un tract a �t� distribu� ce matin au Pradet :
« STOP A LA RUMEUR STOP AUX MENSONGES »
Quatre candidats y sont implicitement trait�s de menteurs parce qu’au-del� des clivages leurs analyses convergent en ce qui concerne ce PLU taill� sur mesure pour les promoteurs et les am�nageurs de tous poils. Cherchez l’erreur.
Non moins implicitement le Maire candidat � sa propre succession se pose en victime et en d�fenseur des grands principes d�mocratiques. Peuch�re... lui pour qui le dialogue pourrait se r�sumer en une phrase qui lui tombe des l�vres au moindre embryon de d�bat : « Si vous n’�tes pas d’accord, vous me sanctionnerez aux prochaines �lections ». A vous de voir.
Il persiste � vouloir faire de la mixit� sociale l’enjeu de cette campagne alors que ce qui pose probl�me :
Ce sont les 50 hectares de zones � urbaniser du PLU en majorit� constitu�es de zones IIAU (absence de projet et COS non d�fini), qui ont fait l’objet en novembre d’une d�lib�ration municipale autorisant le Maire � d�l�guer son droit de pr�emption et d‘expropriation � l’EPFR (Etablissement Public Foncier R�gional).
Ce sont les coupures d’urbanisation qui ne sont pas reconnues.
Ce sont les espaces bois�s class�s qui disparaissent.
Ce sont les �largissements syst�matiques des chemins � 8 m�tres.
C’est la condamnation des terres agricoles.
C’est le maintien de l’Esquirol comme zone d’int�r�t communautaire au niveau du Programme Local de l’Habitat de TPM.
C’est la mort annonc�e du petit commerce et la d�gradation des entr�es de ville.
C’est l’absence totale de concertation.
On va dire Stop, la liste est trop longue.
Carnavalier