Vous ne pouvez vraiment plus le voir en peinture, le petit-avec-des-grandes-oreilles qui brasse de l’air et affole les m�dias. Pourtant, malgr� l’allergie, la naus�e, les ballonnements, l’indigestion, vous voil� sur cette page en train de lire d’autres mots consacr�s � l’insupportable et tr�s peu photog�nique cabot.

En fait, cette br�ve concerne davantage Var matin et ceux qui construisent le journal toulonnais. Encore. Dans les bureaux cossus de Cuverville, nous avons de plus en plus le sentiment que les petites mains charg�es de veiller aux int�r�ts de Lagard�re et ses amis en rajoutent dans l’outrance, comme si l’outrance pouvait tuer la propagande, comme s’il s’agissait d’envoyer un pied de nez � la direction tout en faisant semblant d’ob�ir aux ordres. Si c’est le cas : courage les gars. Tenez bon. Continuez � souffler le vent, jusqu’� rendre malade le plus acharn� de vos lecteurs.

Ces images sont extraites de l’�dition Grand Toulon du dimanche 12 septembre. La photo o� sourit le petit Nicolas est forc�ment celle choisie pour la Une.
En page int�rieure consacr�e int�gralement � "l’avant-premi�re mondiale de l’adaptation cin�matographique" de l’enqu�te corse (rubrique "L’�v�nement"), Var matin nous gratifie de l’interview d’un autre artiste fatigant, Christian Clavier, Louis de Funes de service dans le film adapt� de la BD de P�tillon : " - La surprise Nicolas Sarkozy � la projection ? (demande le journaliste) - Apr�s son sommet europ�en, il a tenu � �tre pr�sent, d’abord par amiti� � l’�gard de Jean R�no, de Camille de Rocca Serra et de moi-m�me ; ensuite parce que la Corse lui manque beaucoup (r�pond le bronz�)."