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Le Front joue la gagne
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7 décembre 2003

 

.:: TOULON AGGLOMÉRATION ::.
Régionales Paca 2004 (29/02/2004)

 



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Après des semaines d’attente cruelle, nous apprenons enfin lesquels de ses purs-sangs de souche le FN a désignés pour reconquérir la fierté et la dignité toulonnaises.
Franck Giletti, ex-conseiller municipal du traître Le Chevallier, boutera hors du cinquième canton le renégat Dominique Michel, ex-adjoint du même.
Gérard Bauer, ex-adjoint lui aussi, libérera le deuxième canton du socialo-trotskisse Maranzana.
Enfin Jean-Claude Lunardelli, ex-adjoint encore, renverra à ses fourneaux la femme mondialo-communisse Daumas.
Car les Toulonnais n’ont pas oublié la participation de ces étalons au renouveau de leur ville dans les six glorieuses années de laboratoire (1995-2001), expérience à peine assombrie par la forfaiture du félon Le Chevallier, qui, on s’en souvient, se fit exclure par Jean-Marie Le Pen parce qu’il refusait de payer sa quote-part au parti.
Face à la politique d’immobilisme et de déclin engagée par le gouvernement UMP de Raffarin, seul le Front national représente le mouvement et le renouveau. Nos trois candidats, que les âmes chafouines pensaient en retraite depuis les tristes jours de l’accession de Falco au fauteuil municipal, veillent toujours, discrètement, sur l’avenir de leurs compatriotes. De temps à autre, ils n’hésitent pas à enrichir la réflexion toulonnaise de tribunes que Var matin, évidemment, n’a que hâte de publier (via cette rubrique fort prisée qu’on appelle courrier des lecteurs). Ainsi, le 24 novembre dernier, on pouvait lire cette pensée de Jean-Claude Lunardelli, concernant l’imposture du "forum social européen" : "en prônant l’ouverture totale des frontières, la généralisation du métissage, en enfourchant le cheval de bataille de l’antiracisme unilatéral, laïc et obligatoire et en diabolisant la droite de conviction et les solutions de bon sens qu’elle promeut, les altermondialistes sont, à n’en pas douter, les gardes-chiourmes du système. Aussi les partis politiques qui les flattent et les subventionnent savent-ils bien qu’ils ne prennent aucun risque à les accompagner dans leurs revendications et à relayer leurs mots d’ordre tant l’altermondialisme, mélange de néo-marxisme infantile et d’anticapitalisme de pacotille, est une totale imposture politique qui sert à recycler idéologiquement une gauche qui a partout échoué au XXe siècle là où elle a été au pouvoir" (tandis que l’extrême droite, elle, a partout réussi dans la paix et la joie des peuples).